06 juin 2009

À Cheval blanc donné





D
ébut de vendredi soir des plus agréables à la
« taverne » en compagnie de Sébastien Boulanger-Gagnon, jeune poète en construction avec une voix blues qui porte sur le chantier de l'indépendance...

Il écrit, me récite par cœur ceci : « vitesse folle à travers le pare-brise aveugle éclaté / je prends racine dans ma carcasse de société / m'élève grinçant plus fort que le train / ce n'est pas moi qui s'écrase dans le monde c'est le monde qui me «crash» dedans »

Fin de soirée des plus paisibles en lisant un courriel de la charmante Louise, impérissable artiste au rang des pâquerettes qui vous lance des fleurs dans l'altitude du regard.

L dit : « Le mystère brouillon des idées confuses. L'art de ne pas comprendre ce que l'on veut
bien ignorer. Mais cet œuf de lumière...»















Dessin : Louise, 13/03/09
Photo : Owen Ogletree

2 commentaires:

  1. Cet oeuf de lumière...
    qui ne crèvera jamais,
    dans la poêlonne
    de nos ancêtres.

    L.

    RépondreEffacer
  2. le cheval blanc

    du tepms en banque
    pour visiter des souvenirs
    couleur houblon

    RépondreEffacer