28 janvier 2008

Berceuse pour veiller tard au salon de l'auto

Tous ces........... mots.......................alors que...le pétrole pète au fret...


Tous ces mots à l'horizon Tous ces mots....alors que nous prenons le thé............tranquillement............la.....terre natale....... se coupe.......les .........................veines...............................
.............et ......................nos révolutions C'est-à-dire nos mains
découpées en petits morceaux choisis :)?(: "trafic ...........tranquille sur le pont Laviolette" Avec....... tous les mots tranquillisés.....au...... gel bleu qui ronronnent............................à l’aube... se renversent.................... dans .....la gueule nihiliste du volant sacré..........t'auras rien senti........ les roches dans les vieux océans avec la tolle crapotent dans nos......poches vides et pis c'est......merveilleux la vie et les belles carcasses de minounes quoique tous ces mots à l'horizon Tous ces mots

........................à l'horizon le trafic tous.............. ces mots en pots vroum et pis après.....carapaces boum de mots........alors nous prenons, mine de rien, le .........thé....aux paradigmes avec.........la.....terre en sachet .........vieille natale notariée qui............ se coupe.......les veines..... t'auras rien rien rien senti........ Vois les chats-mots .....vois ceux qui rouillent au soleil par en-dedans ...................Vois...............les belles voitures qui.......... rutilent quoique le sous-commandant Marcos n'a pas ce carburant à l'horizon de l'eau courante car le trafic de tous.............. ces mots vroum et pis après le chauffard le déluge
Mais............où........... prendre le courage à ............... son cou, parfois.. la rage, Nadja? La................ terre............. se..............groom................./ /se coupe les vivres. Vois!
..................alors...............nous prenons........... le thé......chinois ou chez toi........... bordel?
Parfois....................la rage -------------------- se traduit SIMULTANÉMENT...dans....nos mots lâchés lousses sur le calvaire des----------------!!!---------------- Océans bleus ridés ................, vitres au sol du pétrole dans le pli du jour décrinqué........ Eille! L'horizon..... la circulation à sens unique du Détroit systématisé dans la soudure de la Chine qui spoilulera pour l'éternité.... La Chine thétera au fret................

bordel!..... Ces..... mots épars..... ne nous épargneront pas........océans qui craquelèrent .........dans nos rêves mais tous ces mots veinés
c'est-à-dire nos mains.............. alors, tous ces mots travaillés d'huile qui pétillent à l'horizon des villes @, l'ozone mordu par le vroum vroum trafic de côtes à remonter sur ...terre à foudre à freins d'hiver - Oh! mensonges à quatre roues mots tristes en cavale sur la 20, la 40, la Félix Leclerc, l'autocroute du monde entier! ces mots «la terre» coupent des entrefilets de poudre aux yeux en béton........ferme tes jolis yeux triple w......rêve......rêve..............au pays .............merveilleux,................. au beau pays bleu du zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz rêêêêêve zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz.

2 commentaires:

Anonyme a dit...

Tu devrais essayer en faisant dérouler les bandes à des vitesses différentes. Ca permet des rencontres de sens entre les lignes.

Anonyme a dit...

'ai suivi ton idée, Rimo. Dans la présente «expérimentation», je sais bien que les «cinq voies de large» sur l'autoroute des mots (trop de mots) sont autodéroutantes pour l'œil qui ne sait plus sur quel pied cligner. La circulation est lourde, sinon dense. Curieusement, l'œil (en tout cas le mien) a tendance à se raccrocher aux bandes les plus rapides. Les mots lents, comme de vieux moulins à paroles oubliés dans le chant, restent dans l'ombre. Est-ce donc le mouvement, le pétillement promis par en avant que nous cherchons en premier, dans l'espoir de ne rien manquer, alors que sur la page étale, habituellement, nous glanons le paysage à pied, entre le noir et le blanc, tranquillement, nous zieutons en silence de gauche à droite, parfois pour se perdre dans «la fuite monotone et sans hâte du temps».