24 septembre 2019

Fabuleux Train de nuit Mistral

je ne saurais dire aujourd’hui où est rendu ce Train de nuit, au quai ou en voiture, chou chou en rails vers quelque part, réelle aventure artistique, festive et amicale autour de la nuit qui a fleuri en France, la vidéo que je viens de capter date de 2016. C’est bien l’fun. J’espère qu’il n’est pas rendu d’l’autre bord, avec Le P’tit train du Nord de Monsieur Leclerc. Quoiqu’ils ont pu se croiser dans « l’art chipel » des imaginations. 
Et en passant, « quelque part » est une parole sage de Ducharme, Réjean, que nous a fait connaître le talentueux gaspésien Patrice Michaud en l’insérant dans Kamikaze, une chanson populaire composée et interprétée par lui : 
« L’amour, ce n’est pas quelque chose, mais quelque part... »





Marie-Claire Blais dans l’underground américain

Substantielle présentation dans The New Yorker du 16 septembre 2019 de l’œuvre de Marie-Claire Blais, finement tournée en vue d’attirer à la lecture le public des Etats-Unis, pays où vit, pense, écrit l’auteure de Tête Blanche, récit qui me subjugua à 16 ans. En ce moment, je suis dans la tête de Geneviève, un des personnages de Les nuits de l’Underground. Je suis loin d’être à jour. Je me rappelle toujours avec émotion avoir vu sur scène Marie-Claire Blais à la Nuit de la poésie de 1991. Elle parla de la guerre en cours « dans la chambre d’à-côté ».
Pasha Malla : « The French-Canadian novelist—who has lived in Florida for decades—has been writing brilliant, original fiction for more than half a century ».
https://www.newyorker.com/books/under-review/will-american-readers-ever-catch-on-to-marie-claire-blais

En rappel, je signale également un entretien à Radio-Canada avec Michel Désautels à son émission  dominicale du 21 janvier 2018 : L’Amérique et ses soifs selon Marie-Claire Blais.