Chère, tes chemins d'homonymes sont zébrés de mouchetures. Je taperai du pied en lisant. Promis. Je regarderai au loin et « laisserai le vent baigner ma tête nue ». Ne m'en veut pas de bien écrire ton ombre, ta chambre noire, ton assimilation du dedans. La tête est un éclair. Je m'y attendais. Que voulais-tu dire avec des yeux de charbon l'autre soir, derrière le bar? Que voulais-tu dire en trois minutes?
Éric Roger, brasseur de poèsie
Éric que j'appelle Roger
Yvon Jean, Noires poésies 
Ivy
Jacques Desmarais
2 commentaires:
les deux nous sommes adeptes de la rayure! Je suis contente de voir celle que tu aimes :) :P
Chère, tes chemins d'homonymes sont zébrés de mouchetures. Je taperai du pied en lisant. Promis. Je regarderai au loin et
« laisserai le vent baigner ma tête nue ». Ne m'en veut pas de bien écrire ton ombre, ta chambre noire, ton assimilation du dedans. La tête est un éclair. Je m'y attendais. Que voulais-tu dire avec des yeux de charbon l'autre soir, derrière le bar? Que voulais-tu dire en trois minutes?
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