Paratonnerre et balançoire blues pop & rock
Ayoye! Elle est belle en hostie
dans sa blouse rose pêche
peinte à la main par Samuel
Elle récoltera cet été même
vent de narquoisie,
la Cournoyer,
qui a du bleu noir de poésie
des plumes de noblesse
les cheveux dans l' face
un reggae blanc un chant plein qui chambarde
dans la gueule de nos espérances têtues
qui rôdent la nuit
sur le quai des brumes communiantes
ou entre les murs d'un petit quatre et demi
si véritable
Depuis tout le temps
Depuis la solitude et l'enfant
« En avant objectif bonheur »
Elle dira : « eille, les gars
Amenez-moi dans le bois! »
Fa que, ça clenche en titi!
« (...) nos cascades de sauvages se connaissent »
Elle nommera la Bête
La noire qui déferle à la t.v.
Amenez-moi dans le bois!
Il faudrait qu'on s'en souvienne!
Du massacre!
Elle chantera On a perdu l'air du temps
avec un sourire de magicienne
Elle écrira pour ses caribous
« la tête remplie de lunes »
une chanson à Paris,
la suivante à Sept-Îles
ma préférée si douce à la Françoise Hardy
« Je te parie que tu adores te faire surprendre par l'imprévu...»
Oui! En mots t'a dit!
Et tu m'avais dit à la fête d'Amir :
« Il faut s'encourager les uns les autres! »
Moi, je te parie un quinze, rubis sur l'onde
(c'est le prix du CD)
que les tounes de la Tempête
vont tourner comme du beurre à la radio
sur un temps rare!
Ça va twister
ô gauche, mes amis
puisqu'il faut leur twister le cou!
Ou le cœur?
Où est-ce qu'il est
le Marabout?!
Ève en entrevue à CIBL (merci Louis-René Beaudin).
Voir
Photo Jacques Desmarais, lancement de Tempête au Lion d'Or, 6 mai 2010.
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