Dans la série Les poèmes cannibales comme dans Amélie Poulain
Salut Papa,
voici les photos que j'ai prises avec ton livre...
Elles ne sont pas toutes bonnes... Des fois c'est le focus, mais des fois les
figurants enlèvent un peu de cachet...
Et voici l'histoire des souliers à Budapest (tiré de wikipedia) :
"Lors de la Seconde Guerre mondiale, les Juifs sont rassemblés dans le ghetto de
Budapest. Environ un tiers des 250 000 habitants juifs de Budapest meurent
suite au génocide nazi perpétré pendant l'occupation allemande de 1944. Entre
décembre 1944 et la fin de janvier 1945 dans des razzias nocturnes, les
miliciens du Parti des Croix fléchées arrêtent les Juifs dans le ghetto ainsi
que les déserteurs de l'armée hongroise ou ennemis politiques, les exécutent le
long des rives du Danube et jettent les corps dans le fleuve. Une plaque
commémorative a été posée le 16 avril 2005 en bordure du fleuve où des
chaussures appartenant aux victimes sont fleuries."
Bonne soirée,
S.
Kaddish pour ces gens que nous aurions souhaité imaginer voir vivre parmi leurs enfants. Normalement. Paisiblement. Nous twisterons les mots s'il fallait les twister...
« Vous en êtes sûr ? L’effacement des traces est l’une des manœuvres principales de l’adversaire.
Hermann :
Quel adversaire ? Je peux vous assurer que dans notre région…
L’Envoyé (dans un léger sourire) – Je pensais au Temps… !
C’est de loin l’adversaire le plus redoutable. »
Le Chercheur de traces, d’après I. Kertész
Photo Sarah, juillet 2010.
1 commentaire:
Merci belle Sarah. Que mes humbles poèmes soient comme des fleurs malgré l'horreur. Cette photo me fait penser au peu que je sais.
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