J'ai vu en 2004 l'intense feu du grand Denis Lavant à l'Usine C dans La nuit juste avant les forêts de Bernard-Marie Koltès, mise en scène de Kristian Frédéric, ce soliloque hallucinant d'un homme perdu, mouillé par la pluie et qui claque de la poésie jusqu'à la nudité la plus absolue de la marge, de la rue, de la solitude.
Texte bouleversant porté ici en ce moment sur les planches par Sébastien Ricard, m.e.s. Brigitte Haentjens . J'irai ce soir.
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