09 mars 2013
Les Beats : pas toujours des anges, pas toujours gais!
Pas encore vu le film Kill Your Darlings. Pas lu d'autres critiques. Et vous? Gros focus en ce moment dans le cinéma aux États sur les Beats. Pas vu non plus On the road qui semble décevant au boutte, ni Big Sur (à venir), ni le doumentaire de Ferlinghetti. Mais il appert que l'engouement actuel sur la vie excitée de ces poètes inspirants de l'Amérique du Nord tourne plutôt autour d'approximations apétissantes sur l'inédit de la jeunesse buveuse, fumeuse, baiseuse, mais nous laisse sur notre faim, soit le désir de mieux interpréter aujourd'hui le sens de ces oeuvres littéraires remplies de cris dans un monde capitaliste ahurissant. Dire que le meurtre « fondateur » des Beats au Riverside Park aurait pu être évité si Carr et Kerouac, déguisés saouls en clandestins dans un bateau au port de New York en partance pour la France, avaient pu le 12 août 1944 réaliser leur trip magnifique : se rendre à Paris pour assister live à la Libération!
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