De jeunes ados atikamekws de Manawan s'expriment dans un court métrage amateur (Wapikoni, 2012), au-delà des préjugés racistes qui ont la couenne dure.
Vive Wapikoni qui depuis 10 ans donne la parole et la caméra aux jeunes autochtones qui font le tour des festivals dans le monde entier avec leurs productions!
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