« [...] pour le plaisir, le pur plaisir d'échanger quelque chose »
2 commentaires:
Anonyme
a dit...
Savez vous Jack Que vous y réussissez Comme Louise Forestier, Pas d’inquiétude Vous laissez trace indélébile Désir, partage d’émotions Mais aussi, comme moi je ne sais, Partage d’idées, chaque fois propositions …AU MOUVEMENT, Auxquelles vous tenez tout particulièrement Souvent au petit matin Ce sont des coups de Cœur que nous recevons Je n ai de cesse d’être à la recherche De tels blogs si ouvert, Rien que fragilité cristaline, intensité, Authenticité Incommensurable Déboussolante car si magnétique Alors, on repart toujours vers Québec Par le train de Nuit On est sur que l’Ange vieille sur nous Qu’on y prend toujours soin nos faiblesses Respect C’est si rare Gilles Vigneault c’est encore là Un choix « vivre debout » qui vous ressemble tant je ne sais quel a été votre chemin Vous qui faites bouquet, feux de votre vie A l’appétit et conscience si exacerbée Je n’ai plus les mots Amitiés reconnaissantes
C'est moi qui suis sans mots, Anneaux Nîmes, et c'est moi qui vous connais le moins... Je suis toujours intimidé, mais ravi par vos si bons mots. En par cas, comme disaient les vieux, vous touchez à l'une de mes motivations les plus sincères : communiquer avec mes humbles lumières quelques fleurs, les sauvages sont les plus belles, quelques courants d'air de cet univers qu'on appelle Québec, qui n'a pas que de bonnes influences, mais qui recèle, je crois, une vivacité poétique universelle. La poésie n'est certes pas seulement dans les poèmes et les chansons. C'est dans le faire, pensaient les Grecs. Et ici, tous les chemins mènent à Rome. Mais faire une chanson — ce que je n'ai jamais su faire —, « c'est un peu comme fabriquer un cerf-volant » a dit un jour lors d'un tour de chant il y 40 ans le grand Vigneault qui a aujourd'hui 86 ans et que j'irai revoir en septembre prochain avec des amis Français dans un concert-rencontre. L'image est parfaite, colorée, trippante, renvoie à l'enfance joufflue, à l'altitude du regard. Cerfs-volants, papillons, engoulevent... Merci de prendre le Train et d'aimer ces paysages!
Encore Vigneault dans Mon pays : « De mon grand pays solitaire Je crie avant que de me taire À tous les hommes de la terre Ma maison, c'est votre maison Entre mes quatre murs de glace Je mets mon temps et mon espace À préparer le feu, la place Pour les humains de l'horizon Et les humains sont de ma race »
2 commentaires:
Savez vous Jack
Que vous y réussissez
Comme Louise Forestier,
Pas d’inquiétude
Vous laissez trace indélébile
Désir, partage d’émotions
Mais aussi, comme moi je ne sais,
Partage d’idées,
chaque fois propositions …AU MOUVEMENT,
Auxquelles vous tenez tout particulièrement
Souvent au petit matin
Ce sont des coups de Cœur que nous recevons
Je n ai de cesse d’être à la recherche
De tels blogs
si ouvert,
Rien que fragilité cristaline, intensité,
Authenticité
Incommensurable
Déboussolante car si magnétique
Alors, on repart toujours vers Québec
Par le train de Nuit
On est sur que l’Ange vieille sur nous
Qu’on y prend toujours soin nos faiblesses
Respect
C’est si rare
Gilles Vigneault c’est encore là
Un choix « vivre debout » qui vous ressemble tant
je ne sais quel a été votre chemin
Vous qui
faites bouquet, feux de votre vie
A l’appétit et conscience si exacerbée
Je n’ai plus les mots
Amitiés reconnaissantes
Anneaux Nîmes
C'est moi qui suis sans mots, Anneaux Nîmes, et c'est moi qui vous connais le moins... Je suis toujours intimidé, mais ravi par vos si bons mots. En par cas, comme disaient les vieux, vous touchez à l'une de mes motivations les plus sincères : communiquer avec mes humbles lumières quelques fleurs, les sauvages sont les plus belles, quelques courants d'air de cet univers qu'on appelle Québec, qui n'a pas que de bonnes influences, mais qui recèle, je crois, une vivacité poétique universelle. La poésie n'est certes pas seulement dans les poèmes et les chansons. C'est dans le faire, pensaient les Grecs. Et ici, tous les chemins mènent à Rome. Mais faire une chanson — ce que je n'ai jamais su faire —, « c'est un peu comme fabriquer un cerf-volant » a dit un jour lors d'un tour de chant il y 40 ans le grand Vigneault qui a aujourd'hui 86 ans et que j'irai revoir en septembre prochain avec des amis Français dans un concert-rencontre. L'image est parfaite, colorée, trippante, renvoie à l'enfance joufflue, à l'altitude du regard. Cerfs-volants, papillons, engoulevent... Merci de prendre le Train et d'aimer ces paysages!
Encore Vigneault dans Mon pays :
« De mon grand pays solitaire
Je crie avant que de me taire
À tous les hommes de la terre
Ma maison, c'est votre maison
Entre mes quatre murs de glace
Je mets mon temps et mon espace
À préparer le feu, la place
Pour les humains de l'horizon
Et les humains sont de ma race »
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