Les poèmes publiés dans les quotidiens, c'est rare en titi de nos jours. Ce matin, Le Devoir ouvre ses branches à de Brèves incursions à l'occasion du Mois de la poésie et c'est Jean-Paul Daoust aux grands yeux qui brise la glace des inédits à venir avec cet hommage aux musiciens souterrains : Les anges gris :
« Les anges gris ont appris l’harmonie des astres
Chaque note unique tel un flocon
Alors quand il neige il tombe du cristal
Qu’ils savent faire vibrer
Les anges gris jouent dans le métro
Affamés mais glorieux de pouvoir chanter [...] »
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