11 décembre 2006

Grosse perte pour la CIA











Il y a le bon ami Henry, l'ombre de l'aigle, la griffe du pouvoir, la tarte aux pommes américaine.

Il y a les irréductibles soldats de la doctrine. Il en faut dans les tranchées du mal, surtout si le mal est rouge.

Croyez-vous que de sa retraite dorée le brillant Henry ira verser une larme de crocodile sur la pourriture du soldat disparu?

3 commentaires:

Anonyme a dit...

Moi, en tout cas, je ne verserai aucune larme. Il aurait dû crever depuis longtemps...!!

Jack a dit...

Wadji nous convie à sortir de la dialectique du bourreau et de la victime. Dans le cas de cette ordure, le cercle vicieux l'aurait été un peu moins si les institutions pénales chiliennes et internationales avaient réussi à le coincer sur un banc d'accusé significatif. Pour qu'il réponde devant l'humanité du sang qu'il a sur les mains. Mais si la richesse (volée) et les hauts zamis ont su protéger Augusto Pinochet, à partir d'aujourd'hui l'histoire va le juger. Il risque d'en prendre pour l'éternité aux côtés des Hitler, Mussolini, Staline, Franco et autres capotés du sanglant XXe siècle.

Anonyme a dit...

Wajdi :)

Pinochet. Oui. Un monstre parmi les monstres. Mais le plus grand monstre reste vivant. Et refait les mêmes conneries à travers le monde. Ou comme dirait Churchill " You can trust the Americans. They will do the right thing....after trying everything else.."
Ou quelque chose comme ça...