24 juin 2008

Mais à l'ombre...

L'été


Lumière de quatre heure, imaginaire de moutarde.

Bestiaire si doux-aimable.

Ils ont joué au frisbee... Carreaux pour Elquidam.

Chargeur à foin (à gauche) et moulin à faucher.

Rosier plus vieux que moi!

D'ici juillet, éclateront.

Mais a l'ombre d'un joli rosier, plus vieux que moi, que je transplantai il y a quatre ans, en plein soleil; et c'est la joie; il étouffait littéralement devant la maison sous les érables et les lilas, parmi les boules de neige et le houblon. Le salmigondis de la vie.
On étouffe parfois.
S'cusez mes vieilles godasses
psychédéliques
.


Photos : jd

2 commentaires:

daniel guimond a dit...

Alors, c'est là que tu te caches?
T'as ben raison, même que l'on étouffe souvent. Malgré qu'à la campagne, la vraie, le vent doit souvent refaire la donne...
merci pour le coup d'oeil!

Anonyme a dit...

Merci pour tes clins d'œil essentiels, Daniel.