Les Cannibales m'ont fait faire un peu de kayak ces derniers jours, loin du clavier et des murs tranquilles du Train. Les bras chargés du temps présent et de cadeaux reçus. C'est fait exprès pour que j'écrive mieux au creux des songes, pour que j'essaye au moins...
Au demeurant, la clé des songes, c'est peut-être juste une expression...
Parmi les éblouissements, je n'oublierai pas de signaler ce si beau texte de Louise, chère Louise, qui arriva pile le soir du lancement.
En effet, comment fermer l'œil dorénavant?
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