Excellente interview avec Dylan dans la dernière livraison du Rolling Stone (mai 2009) entamée tout à l'heure dans le métro au retour du slam. Une fois dehors, j'ai fait le reste à pied, et la grosse lune quasiment pleine cirant le fond du bleu de la nuit continuait à nourrir la conversation avec ce troubadour à cheval sur deux siècles. J'imaginais facilement the hills, the river, the dreams and the wind, les sentiers plein air de ses chansons à n'en plus finir. Je me sentais surtout inclus, compris, invité, reposé dans sa compréhension du monde. Sans le souligner au crayon gras, Dylan dit beaucoup de son empathie du monde lorsque, par exemple, il déclare : de nos jours, avoir une job, n'importe quelle job, c'est très important. Il ne se crisse pas des autres, Dylan, même si sa tête et son cœur pourraient être uniquement tournés vers son art. Merci, Françoys, de m'avoir refilé l'article.
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