Début de vendredi soir des plus agréables à la
« taverne » en compagnie de Sébastien Boulanger-Gagnon, jeune poète en construction avec une voix blues qui porte sur le chantier de l'indépendance...
Il écrit, me récite par cœur ceci : « vitesse folle à travers le pare-brise aveugle éclaté / je prends racine dans ma carcasse de société / m'élève grinçant plus fort que le train / ce n'est pas moi qui s'écrase dans le monde c'est le monde qui me «crash» dedans »
Fin de soirée des plus paisibles en lisant un courriel de la charmante Louise, impérissable artiste au rang des pâquerettes qui vous lance des fleurs dans l'altitude du regard.
L dit : « Le mystère brouillon des idées confuses. L'art de ne pas comprendre ce que l'on veut
bien ignorer. Mais cet œuf de lumière...»
2 commentaires:
Cet oeuf de lumière...
qui ne crèvera jamais,
dans la poêlonne
de nos ancêtres.
L.
le cheval blanc
du tepms en banque
pour visiter des souvenirs
couleur houblon
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