Bruno Roy : « les mots qu’on lit, les mots qu’on écrit sont ceux qui nous aident à devenir meilleurs. […] les mots m’ont grandi. Ils ont fait de moi ce que je suis : un homme heureux. »
- Journal dérivé, t. 4.
Dimanche dernier, j'écrivais à Jean-Paul Damaggio en écoutant la radio :
« Je reviens d'une autre séance de pelletage. La neige ne manquera pas cette année non plus! J'entends en ce moment François Bon qui passe à la radio avec qui j'ai déjà échangé quelques courriels. Il dit en substance : La littérature n'a pas besoin du livre. La littérature et le livre, ce sont deux choses différentes. À la même émission (La librairie francophone, que je ne rate jamais les dimanches soir diffusée en Amérique, en Europe et en Afrique..., il y a Diane Dufresne qui a illustré (elle peint en plus de chanter) une anthologie préparée par Bruno Roy qui s'intitule Les cent plus belles chansons du Québec (Fides, sept. 2009). Bruno m'a déjà fait une grosse fleur après m'avoir entendu lire un texte au FIL : Tu me fais penser à Miron à cause de ton bestiaire, avait-il pris la peine de me dire. Trop fin. »
J'ai croisé Bruno en novembre à l'entrée du dernier Salon du livre de Montréal, Place Bonaventure. Il m'a fait un beau sourire franc. Pourtant, on ne se connaissait pas vraiment. Un fraternel à l'os. Sa mort subite me fait de la peine.
***
Pour écouter l'émission de Librairie francophone du 3 décembre 2009
J'ai croisé Bruno en novembre à l'entrée du dernier Salon du livre de Montréal, Place Bonaventure. Il m'a fait un beau sourire franc. Pourtant, on ne se connaissait pas vraiment. Un fraternel à l'os. Sa mort subite me fait de la peine.
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Pour écouter l'émission de Librairie francophone du 3 décembre 2009
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