24 janvier 2010

Le Journoir de Montréal

Vendredi soir passé, un jeune solliciteur au bout de la ligne m'offre un abonnement au JDM « à moitié prix »! J'ai répondu au bon bougre que je n'étais pas intéressé à un journal qui laisse à la rue ses artisans avec l'espoir qu'ils plient jusqu'à licher le trottoir de la rue Frontenac.

Cela fait un an aujourd'hui que ce collègue diplômé en philosophie et trempé à la go-gauche des années 70 tient tête à la « rhétorique syndicale ». Il serait peut-être grand temps que le doué PKP qui a de la graine de général relise le bon vieux Platon, question de renouer le dialogue avec le dialogue.



Cf. Le show du cadenas

1 commentaire:

Le Seuil a dit...

Les Loco Locass sont partout et pas à peu près ( et à peu de frais ); ils sont partout et presque en même temps: sur la rue Frontenac, au téléthon, à TVA, (Québec vs Montréal), la semaine passée à Québec. C'est presque de la soft UBIquité.;-) Y'a juste eux autres pour faire ce qu'ils font, juste eux autres, et personne d'autre. Le 17 février prochain, Biz doit sortir DÉRIVES, un récit de fiction. Est-ce que ça fera LA UNE ? On sait jamais, avec ces fils de...moulins-là ! ;-)