22 mai 2010

Maxime Catellier paraphrasé : «(...) un train peut en révéler un autre, qui disent. »





Je le dis comme je le sens, depuis la mort de l'hebdomadaire ICI au printemps 2009, l'humble lecteur que je suis s'ennuie de la plume à la fois exquise et papier verré de Maxime Catellier, ce jeune  écrivain qui y dirigeait le pupitre des arts et donnait à lire des chroniques littéraires de premier plan.

Ma dernière rencontre avec lui remonte à l'an dernier lors du lancement du recueil de Danny Plourde. Plus tard, en décembre 2009, j'ai manqué d'un poil de party le lancement au Divan orange de l'album du collectif rock Les Fidel Castrol auquel il participe.  il m'arrivait de me demander : que fait donc Maxime Catellier?

J'ai eu la réponse il y a une couple de semaines à mon émission littéraire
La librairie francophone au cours de laquelle Manon Trépanier a recensé le premier roman de Maxime intitulé Le corps de la Deneuve, paru en mars 2010 chez l'éditeur Coups de tête.
« Roman osé, surréaliste... », a-t-elle indiqué.



« Nous avions faim à se couper les mains sur des araignées de mer...»

Photo Sirius-joe, avec son aimable autorisation.

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