Passé la troisième courbe, les fourmis dans les jambes, nous allions tout l'été danser le ya ya et les Paul Jones au Pavillon du Détour. La terre sous les ongles, la corne aux mains rurales démodées, le temps fixe des récoltes, rien n'empêcha les fleurs dans les oreilles, la survie bohémienne, la naissance amidonnée de la veine du plaisir en décapotable sur le chemin du genou de la taille des beaux grands slows collés. C'était la sueur de l'abondance.
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