17 août 2011

P.-M. L.

« tu ne mourras pas un oiseau portera tes cendres
dans l'aile d'une fourrure plus étale et plus chaude que l'été
aussi blonde aussi folle que l'invention de la lumière »
- Paul-Marie Lapoinre, Épitaphe pour un jeune révolté

1 commentaire:

Mario Cholette a dit...

C'est un de mes poèmes fétiches.