23 octobre 2012

Le sale homme qui rush die



Aussi humble que soit mon rapport au littéraire, aux paysages littéraires pour mieux dire comme Stéphane Lépine, il y a un mot, un sentiment qui m'anime par-dessus tout et qui ne me quitte pas lorsque je songe à ces voix d'écrivains de par le vaste monde qui atteignent au plus fondamental notre regard, nos coeurs, notre pensée : c'est le mot liberté. C'est ce qui m'est revenu en écoutant tantôt à la radio les commentaires (parmi les plus fiables ici) des philosophes Georges Leroux et Christian Nadeau autour de Saman Rushdie. Liberté. Liberté d'ex-pression.

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