10 avril 2013

Ça coule encore en ce printemps, je l'espère


De si bons mots de Merle, le René
qui reprend aujourd'hui sur son blogue
La coulée des Angevins,
un texte de printemps fou
des Poèmes cannibales
que m'a lu avec sa tuque rouge
un jour de Noël passé
sur You tube
l'ami Gaétan.

Je souligne
que la brève citation insérée 
à la fin du poème
« comme une fleur
au bec d'une hirondelle »
est une trace de paraphrase
de Gilbert Langevin
dans Le vol imaginaire,
que cela est chanté
et m'est parvenu
par la voie des airs
c'est-à-dire par les bons soins
de mon compatriote 
des Cantons-de-l'Est
Jean Custeau
qui est justement
en train de travailler
à une nouvelle version
de cette chanson














Épormyables sont mes dettes.

Nous vaincrons!




1 commentaire:

Anonyme a dit...

C'est un grand festival ce matin
subjuguée par la voix de de Jean Custeau dans le Vin des anges, tendant l'oreille pour bien comprendre le texte de votre poème, Jack, "La coulée des Angevins", dit par votre ami René Merle, visite le blog de Gaétan.
Pour moi c'est beaucoup, mais aussi un plaisir fou. C'est à mon rythme grâce aux différents liens que je glanerai de temps à autres perles multi colores laissées en chemin par vous les poètes, afin que nous puissions ne jamais perdre de vue la lueur.

Sachez qu'An ce matin, à tous,
vous tend les deux mains.

Anneau Nîmes