Lumière du matin qui coule en septembre, l'œuvre du temps malgré tout.
Photo Jacques Desmarais, Béthanie, 4 septembre 2016, 7 h 16.
2 commentaires:
Anonyme
a dit...
Quelle vitrine encore Puits sans fond Qui n’a de cesse d’inviter Vers des espaces Au goût d’enfance sucrée mélodies passées, mais pas que à poursuivre vers demain Tel l’arbre centenaire Aux ramifications et rejets Insoumis On y trouve tout au long De branches solides Poésie, supplique, traité méditation de lettrés où Poètes, lutins, magiciens y font toujours fête Frisons, ondes de tout.
2 commentaires:
Quelle vitrine encore
Puits sans fond
Qui n’a de cesse d’inviter
Vers des espaces
Au goût d’enfance sucrée
mélodies passées, mais pas que
à poursuivre
vers demain
Tel l’arbre centenaire
Aux ramifications et rejets
Insoumis
On y trouve tout au long
De branches solides
Poésie, supplique, traité
méditation de lettrés où
Poètes, lutins, magiciens
y font toujours fête
Frisons, ondes de tout.
Merci
Je reçois ces bons mots qui me touchent. Merci à vous que je ne peux, hélas, que lire.
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