Je n'ai pas encore lu ce texte d'une cinquantaine de pages de Jean Paul Damaggio, Revenir d'Uzeste en 1986, qu'il offre à lire en accès libre sur le blogue des Éditions de la Brochure. Mais je le ferai, c'est garanti, afin de suivre les deux personnages, Testa Cassé et le lecteur que tu es, parce que l'auteur que j'aime depuis plus de quarante ans avec force échos de nos tribulations louisianaises, il dit que c'est par l'écriture de ce récit de 1986 qu'il a trouvé sa voix et celles, prolifiques, qu'il a voulu répercuter depuis et jusqu'à aujourd'hui avec courage et fraternité. Ça résonne du métier d'instituteur, mais avant, l'enfant, tous les enfants « et leurs souffrances », écrit-il, puis l'ordinaire familial, familier, local, l'ordinaire militant, les signaux emblématiques de vie dans les recettes de soupe maison, et ça regarde loin, ça mijote moûts itinéraires avec radar persistant sur au moins trois continents. Sans jamais oublier de retourner parfois en Italie, peut-être plus souvent en Espagne, passant par la Côte Vermeille, Collioure et vive la vie!
Note
Testa Casé. Me fait tout de suite rappeler le nom de Questa dans Le Nez qui vogue, roman de grand air à la Villon de Ducharme. Il faudrait que je vérifie l'orthographe. Et mes intuitions. Peu importe, je vole-colle drette là, ça résume tellement bien l'ambiance du pauvre gars tout seul dans son coin avec son chien qui est mort : Questa Cassé. Ciboire!
Note
Testa Casé. Me fait tout de suite rappeler le nom de Questa dans Le Nez qui vogue, roman de grand air à la Villon de Ducharme. Il faudrait que je vérifie l'orthographe. Et mes intuitions. Peu importe, je vole-colle drette là, ça résume tellement bien l'ambiance du pauvre gars tout seul dans son coin avec son chien qui est mort : Questa Cassé. Ciboire!
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