Est-ce que ce sont mes deux coupes du rosada Villa d'Orta prises au soleil cuisant sur la terrasse de l'appart ? Est-ce parce que je suis un fan de l'écriture voyageuse de Monique Durand que l'on peut suivre l'été dans les pages du Devoir? Ou encore l'amitié inconditionnelle que je ressens pour les peuples autochtones de mon grand Québec solitaire ? En tout cas, j'ai terminé la lecture de ce Schefferville sur le bord de.
https://www.ledevoir.com/societe/532887/innus-naskapis-blancs-visiteurs-de-passage-tous-se-rencontrent-au-bla-bla-de-shefferville
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