Le Devoir, mais pour mieux dire, par les bons soins sensibles de Dominic Tardif, a rencontré Joséphine Bacon, frôlant lumières nomades en narquoisie d'oiseaux et de bêtes lointaines de la toundra, " poésie partout " faisant aussi son nid aller-retour et autour des bancs publics de la belle Montréal avec des mots qui n'existent pas encore... J'aime particulièrement cette évocation du temps présent où mon propre regard en étoile n'est rien à la pensée de tous les départs : "Juste avant la brunante, en novembre, c'est comme si la lumière t'offrait le souvenir de sa luminosité."
- Le D Magazine, 8-9 septembre 2018, p. 29.
La lumière de Joséphine Bacon
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