14 avril 2009

Je m'excuse à l'avance...




Mais celle-là, je la pique.
On ne peut toujours bien pas soustraire continuellement de la vue
la belle invisibilité.

Fantôme d'L.

4 commentaires:

Anonyme a dit...

Rondeur de la save heures. Approvisionnement de douleurs. Constat des amiables. L'Ensemblable superposé dans le recoin blanc de mon oeil richard.

(Restant de table)

Jack a dit...

Reproduction. Il est vrai qu'aux petites heures je n'ai cité que la moitié de l'effet de l'œil. J'ai loupé « l'œil richard »(?). Petite night room aveugle, naturelle (?) pour accoster les énigmes de la faim repue. l'image en tant que telle développait son ruban de magie. Là. À côté. Qui rira du temps passé à faire la vaisselle pour que demain l'on veille encore?

Anonyme a dit...

L'oeil richard: pour la poétesse Lyne Richard, « Tout ce blanc près de l'oeil »

http://www.litterature.org/recherche/ecrivains/richard-lyne-907/

Jack a dit...

Merci! Lyne Richard, 1953. Île d'Orléans. Ça me plaît bien en partant. Surtout s'il est vrai qu'elle pointe du doigt les pivoines. Depuis toujours, pour moi en cambrousse, l'été en sa jeunesse a quelque chose d'une belle fille qui passe blousée pivoine blanche avec juste un peu de jaune et de rose.

« l’arbre
a perdu ses neiges
dans ma paume
pointer du doigt
l’emplacement des pivoines
jardins d’hiver »
- Tout ce blanc près de l'oeil.