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| Photo Jacques Desmarais, Vieux-Montréal, nov. 2009. |
« Dans une nuit de contrebande, je transporte avec moi un sac à dos de rêves. »
- J.-M. L., Un feu me hante, p. 13.
Il est timide, mais il n'a pas la langue dans sa poche. D'ailleurs La langue est mon pays est le titre de son plus récent ouvrage paru fin septembre aux Éditions Trois- Pistoles.
Après un saut au Festival International de Poésie des Trois-Rivières, l'ami Jean-Marc La Frenière est parti sur la trotte en France avec son chapeau et ses bouts d'éternité. C'est d'ailleurs en France qu' il fut d'abord publié.
Nice, Jean-Marc!
De fait, il est passé à Nice...
OVVR du 22/10/10 sur Nice Azur TV
envoyé par niceazurtv. -
4 commentaires:
Enterré quelque peu par le verbo-moteur des animateurs français, c'est un peu dommage que l'on ait pas plus entendu la langue de ce pays qu'est Jean-Marc La Frenière. Fallait voir la bette sceptique du " découvreur " quand le Poète lui a dit qu'il ne repassait pas sur ses mots, comme un petit malaise. Merci d'avoir plogué cette interview, ça met de la couleur dans le gris de novembre.
VLB a comme un frère jumeau maintenant.;-)
Louise
C'est dans tous les sens et littérairement des plus typiques!
Jumeau en effet jusqu'au museau amical des animots.
Je n'ai pas encore raconté faute de temps et d'occasion ma récente, brève, mais néanmoins émouvante rencontre avec VLB.
Salutations L.
AH! ce cher et si tendre, gagnera-t-il le prix NOVEMBRE pour son BIBI ? Ce serait le fun.
errata: c'est DÉCEMBRE, le prix.
Il a remporté le prix VIRILO hier, quelque chose qui n'est pas un prix " sérieux", qui se veut un genre anti-FEMINA, mais c'est un prix quand même.
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