Dans le cahier littéraire du Devoir du 31 octobre 2015, on trouve d'intéressantes recensions suggérées par Christian Desmeules à propos des lettres italiennes.
Rappelant la triste fin de Pasolini assassiné il y a 40 ans, le chroniqueur signale tout d'abord un essai récent de la journaliste Simona Zecchi, intitulé Pasolini, massacro di un poeta (Ponte alle Grazie), qui accréditerait la thèse de l'assassinat politique.
Desmeules cite par ailleurs L'Inédit de New York (1969) dans lequel Pasolini exprime avec force sa croyance en la poésie : « On peut lire des milliers de fois le même livre de poésie, on ne le consomme pas. Le livre peut devenir un produit de consommation, l’édition aussi ; la poésie, non. »
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