13 novembre 2016

Le zimzum de Leonard Cohen


Zimzum. Twister les mots s'il le fallait. Cohen (koen, prêtre) de sources vives, sachant que ce n'est pas lui qui mène le show. Cet enfant d'errance parmi nous, comment pourrait-on se l'arracher alors qu'il fait beau à Berlin?
Ici, je veux placer à deux mains les mots puits de lumière
le beau texte profond d'Alexandra Pleshoyano (2010).
"Leonard Cohen n’a pas décidé de devenir poète, mais l’écriture de la poésie s’est imposée à lui comme un verdict (Johnson 1992, 64). Deux événements déclencheurs peuvent être retracés : d’abord la mort de son père lorsqu’il n’avait que neuf ans, puis la découverte, à l’âge de quinze ans, du poète espagnol Federico García Lorca en 1949."
La poésie lyrique de Leonard Cohen : lieu d’un déploiement de la mystique juive, article de Alexandra Pleshoyano paru dans la revue Théologiques (2010), disponible en libre accès sur Érudit:http://www.erudit.org/revue/theologi/2010/…/n2/1007485ar.pdf

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